5 conseils pour bien choisir son plan régulier
Ni mari ni rencontre dâun soir, le plan rĂ©gulier est ce quâon appelait jadis un amant. Un partenaire avec qui partager du plaisir, dans un climat de complicitĂ© dĂ©tendue, loin des attentes du couple. Mais comment sĂ©lectionner cette perle rare ? Des tĂ©moins partagent leurs conseils.
Il connaît le minimum en matière de prévention
Malgré l’immense progrès que représente la PrEP – donc la possibilité pour des mecs séronégatifs au VIH de ne pas devenir séropos et de soigner leurs IST régulièrement – certains ont raté un train. « Je ne vais pas contrôler, mais j’attends de mes partenaires sexuels, je veux dire ceux dont j’ai le téléphone, une sorte de civisme et une bonne prise en charge : des contrôles réguliers et un texto pour me prévenir s’ils ont chopé un truc, pour que je puisse me tester, me faire soigner et prévenir les autres » insiste Théo. C’est comme ça qu’on casse les chaînes de contamination.
Un jour, Théo a reçu un texto d’un régulier pour annoncer une gonorrhée (chaude-pisse aussi appelée blennorragie) et il l’a remercié de l’avoir prévenu. Le soir même, il l’a aperçu de loin, sortant d’un sex-club et a « rompu ». Car même s’ils ne sont pas des maris, les réguliers sont des coups de cœur, des alliés dans la quête du plaisir. De grands garçons responsables, soucieux de notre bien-être sensoriel, donc de notre santé.